Interface nationale ANTIBIORÉSISTANCE

Pourquoi une interface nationale ANTIBIORÉSISTANCE ?

Destinée à la communauté scientifique, l’interface nationale Antibiorésistance, issue du PPR Antibiorésistance, se veut être une porte d’entrée commune, intersectorielle et interactive, identifiant acteurs publics et privés, plateformes et réseaux, activités de coordination et d’animation, et recensant les projets de recherche axés autour de l’antibiorésistance.

Projets et actions soutenus

Le PPR Antibiorésistance finance pour 40 M€,
11 projets de recherche, un méta-réseau de professionnels, une plateforme de données multi-omiques, un observatoire des dimensions sociales et des chaires.

« Une seule santé »


L’approche « une seule santé » repose sur
la conviction que la santé humaine, la santé
animale et la santé environnementale ne font
qu’une. En reconnaissant la diffusion de bactéries
devenues résistantes entre humains, animaux et
environnement comme un facteur essentiel de
propagation des résistances aux antibiotiques,
elle impose d’élaborer des stratégies de lutte
qui ne dissocient pas les humains de leur
environnement. Elle souligne l’urgence de
soutenir une recherche intégrant les
enjeux des trois secteurs.

Actualités

Nos vidéos

Programme prioritaire de recherche (PPR) Antibiorésistance

Pourrait-on demain mourir d’une infection banale faute de traitement efficace ? L’antibiorésistance est devenue un énorme problème de santé publique avec une interdépendance entre l’humain, l’animal et l’environnement.

Antibiorésistance : outils et réseaux structurants

Dans le Programme prioritaire de recherche (PPR) Antibiorésistance, il y a l’optimisation des usages, l’innovation thérapeutique, le contrôle de l’émergence… Mais cela ne suffit pas.

Contrôler l’émergence de l’antibiorésistance

Pour limiter le développement de l’antibiorésistance, on peut optimiser les usages, innover avec de nouveaux traitements, mais aussi faire appel aux sciences humaines et sociales.